Foot et entraînement, à quel prix ?
On lisait dans la Meuse les propos suivant le mois passé, quand est-il des faits les goal sont -ils attachés maintenant par soucis de sécurité pour les plus petits.
M. Trinteler a interpellé le conseil pour l’achat de nouveaux goals amovibles à saint-Léger « Leur base étant étroite, il ne sont pas sûrs, il nous faudrait des bases larges en matériaux plus légers. M. Culot fit remarquer que la commune allait prendre des dispositions de signalisation comme quoi l’emploi des goals mobiles, hors temps sportif géré par les clubs, était interdit ; il promis de faire enchaîner les goals deux par deux pour empêcher leur emploi non sécurisé hors des heures de sport et enfin que depuis toujours il était obligatoire pour les responsables de fixer ces goals au sol. M. Trinteler demanda alors à la commune du matériel approprié pour fixer les goals et dit que lui entraîneur ne pouvait pas prendre ce temps là aux enfants. « Vous ne fixez pas les goals » demandera M. Culot « Non, leur transport est trop lourd et je ne le fait pas » dira M. Trinteler. Un vent d’inconscience souleva le conseil. L’échevin Lempereur promis l’achat de nouveaux goals à condition de pouvoir récupérer les anciens pour les fixer sur les cours d’écoles communales. Mais lorsqu’il apprit que la commune s’était désisté de l’opération « commune sportive » par manque de footballeur, il dit « M. Trinteler, nous avons trois équipes de foot sur la commune qui sont largement supportées financièrement par la commune, si pour une action semblable il n’y a personne pour nous épauler dans notre campagne pour le sport , j’aurais envie de dire : 1 goal contre 7 joueurs aux communes sportives. » L’achat de matériel fera l’objet d’un point lors d’un prochain conseil.
M. Trinteler a interpellé le conseil pour l’achat de nouveaux goals amovibles à saint-Léger « Leur base étant étroite, il ne sont pas sûrs, il nous faudrait des bases larges en matériaux plus légers. M. Culot fit remarquer que la commune allait prendre des dispositions de signalisation comme quoi l’emploi des goals mobiles, hors temps sportif géré par les clubs, était interdit ; il promis de faire enchaîner les goals deux par deux pour empêcher leur emploi non sécurisé hors des heures de sport et enfin que depuis toujours il était obligatoire pour les responsables de fixer ces goals au sol. M. Trinteler demanda alors à la commune du matériel approprié pour fixer les goals et dit que lui entraîneur ne pouvait pas prendre ce temps là aux enfants. « Vous ne fixez pas les goals » demandera M. Culot « Non, leur transport est trop lourd et je ne le fait pas » dira M. Trinteler. Un vent d’inconscience souleva le conseil. L’échevin Lempereur promis l’achat de nouveaux goals à condition de pouvoir récupérer les anciens pour les fixer sur les cours d’écoles communales. Mais lorsqu’il apprit que la commune s’était désisté de l’opération « commune sportive » par manque de footballeur, il dit « M. Trinteler, nous avons trois équipes de foot sur la commune qui sont largement supportées financièrement par la commune, si pour une action semblable il n’y a personne pour nous épauler dans notre campagne pour le sport , j’aurais envie de dire : 1 goal contre 7 joueurs aux communes sportives. » L’achat de matériel fera l’objet d’un point lors d’un prochain conseil.